DELPEUX Didier
Sculpteur
« Ces deux « colonisations » se veulent issues d’un passé réinventé ou d’un avenir hypothétique en un point d’équilibre que nous pouvons espérer stable (enfin).
J’ai tenté de réinventer les gestes utiles pour « coudre cette brande avec du fil de fer sur une structure métallique, en un travail long et besogneux, défiant l’instantanéité la rentabilité de notre époque.
La pièce ALAVA est « habitable » c’est à dire qu’un tapis de foin y permet une halte plus ou moins longue en journée. Les deux œuvres sont garnies de petites lumières changeantes, elles permettent aussi de redécouvrir les volumes en début de nuit sous une autre forme.«
Didier DELPEUX