C’est une aventure qui a débutée grâce à mon grand père artiste Edouard Longue (journaliste et critique gastronomique), il me faisait dessiner et sculpter la pierre de craie dès 7 ans.
Je me suis lancée dans la cuisine avec le goût des belles assiettes et l’harmonie des saveurs et j’ai oublié la peinture jusqu’au jour où un de mes clients, J.G Badaire dont j’admirais les œuvres, m’a encouragé à me lancer.
Il m’a fallu oser et dans son atelier j’ai fait mes premières expériences avec des matières brutes (huile de vidange, brou de noix, goudron, peintures de récupération et vieux papiers.
Je pars d’une idée et les choses se transforment presque seules, je tourne et retourne et la signification apparaît, c’est « l’effet matière » qui m’intéresse, mais je suis aussi passionnée par l’alchimie des couleurs et j’affectionne les pastels.
Je ne suis ni copiste ni copieuse mais une « copiteuse ».
Mes dernières réalisations ont été pour l’évènement « les 600 ans de Jeanne d’Arc », elles figurent dans le catalogue et ont été projetées à l’hôtel de ville d’Orléans .
Une réponse
Kâth est une copiteuse, pardon la et la seule copiteuse qui vous transporte dans son univers, que vous soyez un shadok échoué sur le rivage ou un belou makhnoviste attardé, vous vous retrouvez bien après minuit à contempler sous les étoiles dans les reflets de la lune une cocotarie, à chercher en vain la grande ourse du côté de la Lituanie.
Si vous ne faites pas la connaissance de Kâth quand elle vous en donne l’occasion, c’est à dire maintenant, jamais vous ne la connaîtrez.